Lot de 12 livres OSS 117

OSS 117 est une série de romans d’espionnage créée en août 1949 par l’écrivain français Jean Bruce, reprise à sa mort par son épouse Josette, puis par ses enfants François et Martine. Elle a fait l’objet de nombreuses adaptations, notamment cinématographiques et télévisées. Elle suit les aventures d’un agent secret américain, descendant d’une vieille famille française, Hubert Bonisseur de La Bath, dont « OSS 117 » est le matricule au sein de l’Office of Strategic Services, et compte au total plus de 250 volumes.

18,00

Informations complémentaires

Poids 4,54 kg
Dimensions 12,5 × 18 × 36,5 cm
Etat

Bon état

Description

OSS 117 VOIT ROUGE & PARTIE DE MANILLE POUR OSS 117

William LOBELL traversa lentement le living-room en direction de la vaste baie qui ouvrait sur le port. Le mois de septembre était déjà bien avancé et, comme chaque année ver la fin de l’été, San Francisco baignait dans un brouillard tenace qui ne se dissipait parfois que pour céder la place à la pluie.

William regardait sans les voir les toits luisants d’humidité qui descendaient en étage vers l’embarcadero. Le sentiment de malaise  qui l’oppressait était sans rapport avec le temps: Pour la première fois de sa vie, William Lobell venait de signer un chèque sans provision, un chèque de mille cinq cent dollars.

PAYS NEUTRE & L’ARSENAL SAUTERA

HUBERT se réveilla en sursaut, tous ses muscles crispés. Pour l’avoir mille fois éprouvée, il savait bien ce que signifiait cette impression d’étau lui serrant la nuque. Un danger le menaçait, un danger immédiat.

Tous ses sens en éveil, il se souleva à demi sur la couchette. Sa main gauche parti à tâtons vers la porte du compartiment. Fermée… Une bouffée d’air glacé lui appris alors d’où venait la menace. Le martèlement sourd et continu des roues sur les rails s’était amplifié du même coup. Une clarté diffuse s’infiltrait sur l’étroite cabine.

CONTACT IMPOSSIBLE… & TORTURES

Une animation extraordinaire régnait su le pont du cargot. Un peu désemparé, Igor Savinsky se porta vers tribord et s’appuya à la rambarde, à l’abris d’une chaloupe. D’énormes nuages noirs, précurseurs d’orage, roulaient dans le ciel bas. Il n’était que trois heures de l’après-midi et l’on se serait cru au crépuscule. Pendant un long moment, Igor ne put détacher son regard fasciné des eaux noires de l’océan qui roulaient en longs ourlets réguliers sur le flanc du navire. Puis, alerté par quelques exclamations, il se tourna vers l’avant et aperçut, symbole fantastique et pâle, la silhouette gigantesque de la statue de le Liberté. Pour lui, particulièrement, cette vision prenait une signification extraordinaire, et une émotion singulière lui serrait la gorge, cependant que ses mains puissantes étreignaient la rambarde avec plus de force.

PIÈGE DANS LA NUIT & HARA-KIRI

La sonnerie du téléphone interrompit la conversation. John fit une grimace de mécontentement , puis, reprenant l’attitude impassible qui lui était habituelle, il se leva, s’excusant d’un geste auprès des deux jeunes femmes restées assises sur le divan.

– John Worth, à l’appareil. j’écoute…

ICI OSS 117 & OSS 117 ET FORCE NOIRE

Doucement, Pierre Dru fit escalader le trottoir à la puissante Talbot , l’immobilisa sur le terre-plein et coupa le contact. A cent mètre de là, les moteurs d’une Constellation prêt au départ se déchaînèrent pendant quelques secondes . Pierre Dru descendit de voiture, referma distraitement la portière et regarda le spectacle de l’aéroport.

Pieere Dru était un grand type, massif, au visage glabre, à l’épaisse chevelure noire toujours soigneusement coiffée. Ses mouvements étaient lents, sa bouche , ironique, un peu molle, mais une  impression de force tranquille se dégageait de toute sa personne, encore accentuée par l’expression attentive, toujours aux aguets, de son regard sombre.

OSS 117 CONTRE X & DERNIER QUART D’HEURE

Le grondement du moteur s’enfla, secouant les vitres, puis se tut après un dernier sursaut. Muriel s’était immobilisée sur le seuil du cabinet de toilette, l’oreille tendue. En trois pas, elle fut à la fenêtre , souleva légèrement le store pour regarder au-dehors.

Une grosse limousine noire de marque allemande , portant l’indicatif de la police, s’était arrêtée à l’ombre du vieux figuier, qui abritait la fontaine, au centre de la place. Trois gendarmes en descendirent, un lieutenant et deux hommes, dont les uniformes noirs paraissaient incongrus sur le fond ocre de la place inondée de soleil.

CADAVRE AU DÉTAIL & CHASSE AUX ATOMES

Le couloir était plongé dans l’obscurité . Surpris, Hubert marqua un temps d’hésitation avant de poursuivre son chemin sur le tapis épais qui étouffait ses pas. Il tira une minuscule lampe électrique de sa poche ,jeta une brève lueur sur le sommet d’une porte pour en lire le numéro. Il reprit sa marche lente, tous ses sens en éveil, réflex prêt à jouer. Nouvelle lueur. C’était là . Il s’immobilisa, chercha dans son veston un trousseau de clés aux formes torturées, prêta l’oreille. Silence total. Un regard machinal au cadrant lumineux du chrono; une heure du matin. Il fit un pas en avant, éclaira la serrure.

CESSEZ D’EMETTRE! & L’ESPIONNE S’EVADE

Dans une dernière secousse, le train s’immobilisa à quai. Un instant, le sifflement de la vapeur couvrit le brouhaha qui montait de la gare.

D’une main qui tremblait légèrement , Patricia Brine rabattit sur son visage inquiet la voilette sombre fixée à son chapeau. Elle se leva, prit dans le filet la minuscule mallette en peau de porc, son seul bagage, et s’approcha de la porte du compartiment qu’elle ouvrit  avec lenteur.

CARTE BLANCHE POUR OSS 117 & PLAN DE BATEILLE POUR OSS 117

– Yallah! Gamil, tirant sur la chaîne, se retourna pour regarder l’animal rétif. L’âne coucha les oreilles et continua de s’arc bouter sur ses pattes maigres. Une pastèque tomba d’un des sacs qui lui battaient les flancs et roula dans le ruisseau, au milieu de la ruelle. Gamil jura avec colère, lâcha la chaîne dont l’extrémité tinta joyeusement sur les pavés, et se lança à la poursuite du gros fruit rond qui dévalait la pente.

La pastèque échappée termina sa course dans une flaque d’eau croupie que contenaient deux pavés en saillie. Gamil retroussa son kaftan pour se baisser et récupérer son bien.

OSS 117 APPELLE & AFFAIRE N°1

Paisiblement, la caravane avançait sur le chemin surplombant la rivière. Un vent violent ridait la surface noire de l’eau. Monté sur un cheval nerveux, un homme, qui devait être un seigneur, maintenant à grand-peine sur ses jambes sa longue robe de soie luisante qui se gonflait avec obstination.

Derrière lui, à quelques longueurs, suivaient d’autres cavaliers vêtus du costume traditionnel de peaux de chèvre retournées et coiffés de bonnets de fourrure. Les uns portaient une carabine en bandoulière, d’autres, plus simplement, un arc et des flèches.

LES MARRONS DU FEU & OSS 117 RÉPOND TOUJOURS…

La lumière vacilla, reprit son intensité d’avant, puis se mit à faiblir régulièrement. Erna Krook s’était immobilisée et toute couleur déserta son visage. Ses mains, occupées à broder, se mirent à trembler; elle les posa sur ses genoux.

Les autres ne disaient rien. Julius Papenbroek, le grand-père, semblait dormir dans le fauteil trop grand pour sa vieille carcasse desséchée. Erna savait qu’il n’en était rien. Julius écoutait religieusement la dernière partie du Concerto pour violon, de Beethoven, dont le disque tournait sur l’électrophone.

OSS 117 TOP SECRET & ANGOISSE POUR OSS 117

La nuit était d’une noirceur fantastique. Dans l’écume blanche qui s’ourlait aux flancs larges de la barque, les feux réglementaires trouvaient des reflets bondissants sans cesse renouvelés. Au-delà, de tous les côtés, un mur d’encre noire, d’une telle densité apparente que Kung, occupé à remonter le filet, ne pouvait y porter son regard sans éprouver de l’angoisse…

Takara, immobile à la barre qu’il tenait dans une seule de ses mains puissantes, pensaient que c’était une nuit idéale pour ce qu’il avait à faire. Il écouta un instant le grincement du treuil manœuvré par Kung, puis le claquement de la voile que secouait une brise irrégulière. Sa main gauche se porta à tâtons vers le crane de Ko, le chien-loup, couché en rond sur un tas de cordages. Ko grogna pour exprimer son plaisir et Takara se demanda ce que ferait le chien quand le moment serait venu.

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